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La nouvelle version d’Ebola a été Manipulée pour rendre le virus plus virulent


L’on croyait avoir fait le tour sur la question Ebola, mais il reste des non-dits qui font froid dans le dos. Aussi pour mieux comprendre ce qui se passe aujourd’hui, il est important de savoir que le monde est en guerre et que le virus Ebola n’est que le penchant biologique de la guerre globale menée par les Etats-Unis partout dans le monde.

Dès le début des années 70 les Etats-Unis ont tablé sur un contrôle de population mondiale, statuant clairement qu’il deviendrait très difficile pour les Etats-Unis de garder la main mise sur les ressources du monde si les populations de certains continents comme L’Afrique et l’Asie continuaient à croître en leur causant un challenge quant- à l’exploitation des ressources sous leurs pieds ; aussi « Le 10 août 1970, le président Richard Nixon confiait au NSC (Conseil National de Sécurité) la charge de préparer un rapport sur la population mondiale. Le président américain craignait que la croissance de la population dans le Tiers Monde devienne une menace pour les intérêts des États-Unis. Le 10 décembre 1974, le NSC publiait les résultats de cette étude dans un rapport de 250 pages intitulé: "National Security Sud Mémorandum 200: Implications of Worldwide population Growth for U.S. Security and Overseas Interests". (Implication de la croissance de la population mondiale sur la sécurité et les intérêts des Etats-Unis à l’étranger)L'étude en question avait été préparée par un comité du NSC supervisé par Henry Kissinger alors Secrétaire d'État et président du NSC.

À partir de 1976, la politique étrangère des États-Unis prendra un tournant décisif vers le malthusianisme démographique motivé par la désertification humaine des régions les plus riches en minerais, pour une exploitation sans résistance des populations autochtones, aussi ce n’est pas un hasard si la première épidémie de la fièvre hémorragique frappera le scandale géologique qu’est la République Démocratique du Congo, (Zaïre) la même année en 1976.

Le programme de désertification des populations autochtones des potentiels terrains miniers à l’heure qu’il est continu, avec le conflit des grands lacs qui en un peu plus de 10 ans a déjà fait plus de 6 million de morts.

Il est également important de noter qu’avec le Yellowstone qui tôt ou tard devrait faire éruption et effacer l'Amérique du Nord de la surface de la terre, c'est une urgence pour les Américains de trouver de nouvelles terres de gré ou de force. (Lire ici)

L’idéal eugénique n’a rien de nouveau. Aussi pour maintenir l’hégémonie locale d’une certaine classe et race, les États-Unis dès la fin du 19e siècle et ce jusqu’en 1974, mettront en pratique la stérilisation des masses défavorisées en occurrence les individus de race noire et les amérindiens. Pour moderniser les pratiques de stérilisation sans consentement des concernés, l’accent sera mis sur une tactique plus souple et non moins létale, dans le contrôle de la population défavorisée de l’occident et du Tiers monde. Des millions de dollars seront engagés par les États-Unis dans l’ouverture des centres de planning familial. Aux Etats-Unis, ces centres sont depuis devenus des hauts lieux d’avortement de la gent féminine noire, au total depuis 1973 environ 13 millions de fœtus afro américains sont passée de vie à trépas ; chaque jour environ 1876 fœtus afro américains sont terminés (www.blackgenocide.org), tandis que dans le reste du monde et surtout en Afrique subsaharienne l’agence américaine pour le développement internationale (USAID) est grandement impliquée dans de grandes campagnes de contrôle de la population par les méthodes contraceptives. Il est important de souligner l’arrogance de ce paradigme qui sous-entend que le droit à la vie est un privilège qui revient à une certaine classe d’individus d’une certaine race ou d’une certaine nationalité, le restant de l’humanité devenant mutatis mutandis de simples faire-valoir dont certains devraient s’en passer pour un meilleur luxe.

Du malthusianisme démographique, au génie génétique il n y a qu’un pas qui sera franchi allègrement par ceux qui espèrent un jour défier Dieu et la nature ; l’un étant le bras séculier de l’autre.

Dès les années 80 les implications militaires du génie génétique se préciseront, avec des possibilités infinies ainsi par exemple les micro-organismes, peuvent être rendus résistants aux antibiotiques, et aux vaccins, devenant ainsi plus mortels, plus faciles à manipuler, ils deviennent plus difficiles à détecter et plus stables dans un environnement extérieur avec les nouvelles technologies.

L’entrée en vigueur des OGM (organisme génétiquement modifiés)sera aussi sollicité pour le contrôle de la population ; aussi l’USAMRIID et MONSANTO, qui existe depuis 1901 seront directement impliqués dans la création des graines de céréales génétiquement modifiées capable de stériliser la population masculine en modifiant la structure de leur sperme, après consommation continue .

En outre il est tout aussi important de noter que, le micro-organisme (virus) responsable de la fièvre hémorragique a toujours existé dans la nature, avant d’être génétiquement modifié pour lui faire acquérir son infâme potentiel meurtrier, les rongeurs, les chauves-souris, et les singes, l’on souvent porté sans le moindre risque pour l’homme.

Le virus Ebola a 5 variantes, la souche dite du Zaïre, la Souche dite du Soudan et la Souche de Bundibugyo, sont humaines et se trouvent en Afrique et dans les Laboratoires Occidentaux, tandis que les souches de Reston et de la Forêt de Taï ne sont pas associées aux grandes épidémies humaines, aucun décès n’a été déclaré à ce jour. La souche Reston a été repérée aux Philippines et en République populaire de Chine, elle atteint principalement les singes et les porcs. Aucun cross over des animaux à l’homme n’a jamais été possible pour la simple raison que ces variantes non jamais été modifiées génétiquement pour subir des mutations.

À titre d’exemple l’E coli est une bactérie normalement inoffensive qui se trouve dans le colon humain, elle fut manipulée en laboratoire aussi bien pour produire l’insuline à titre thérapeutique, que pour devenir le vecteur d’une virulente maladie extrêmement mortelle.

Cependant il est important de noter que les épidémies d’Ebola qui frappent l’Afrique simultanément dans plusieurs pays à la fois ne sont pas issues du même foyer à savoir la Sierra Leone car la signature génétique de l’Ebola qui sévit en République démocratique du Congo est différente de celle de Sierra Leone et du Liberia. Qui a donné le feu vert à la déflagration de l’épidémie ? Des épidémies de souches différentes ne peuvent pas simplement exploser au même moment dans plusieurs pays de manière coïncidente alors qu’il n y a pas eu transitivité au préalable.

Le génie génétique est capable de rendre insensible à tout traitement connu, des maladies endémiques. C’est ainsi que dans les années 80 des nouvelles vagues de l’endémie du paludisme résistant à la chloroquine feront des ravages en Afrique subsaharienne conservant son titre de leader tueur. Le paludisme est la première cause de mortalité dans le monde, tuant rien que sur le continent Africain, plus 660 000 personnes chaque année. Cette pathologie qui est la première cause de mortalité dans le monde, selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a encore de beaux jours devant elle surtout lorsque l’on connait le peu d’intérêt que les laboratoires pharmaceutiques de l’occident portent pour cette maladie, qui est un véritable frein au développement des pays de l’Asie du sud-est, d’Amérique latine, et d’Afrique subsaharienne, où elle sévit avec une vigueur effroyable. La résistance du Plasmodium Falciforme à la chloroquine peut être due, soit par une manipulation de la structure chimique des micro-organismes, soit à son mélange avec d’autres agents pathogènes de même classe ; un métissage funeste.

Aussi un cocktail mélangeant le plasmodium falciforme au plasmodium Vivax, Plasmodium ovale, ou plasmodium malariae, rendrait le traitement basé sur la chloroquine désuet, parce que les bactéries mélangées formeraient une sorte d’hybridation (mutation) qui rendrait insensible l’organisme à tout traitement existant au préalable. La résistance du plasmodium falciforme à la chloroquine serait liée à ce principe où les souches hybrides du paludisme deviennent plus mortelles.

A titre d’exemple pour étayer cette thèse, des scientifiques japonais ont réalisé une combinaison des gènes du virus du SIDA humain avec des gènes du même virus attaquant les singes et un gène humain codant une protéine impliquée dans le système immunitaire. Les résultats obtenus ont montré que le gène humain stimule la multiplication d’un tel virus, et, selon les chercheurs, « cela a un effet sur la multiplication virale et la toxicité chez l’Homme »

C’est ce qui se serait passé avec le nouveau virus Ebola qui aurait été mélangé avec le virus de la fièvre de Lassa, par l’armée américaine en sierra Leone, qui à l’hôpital de Kenema en collaboration avec l’université de Tulane, y avait établi un centre de recherche sur le virus Ebola, les chercheurs américains auraient profité de la naïveté des populations locales pour réaliser des tests grandeur nature sur ces dernières les prenant comme de véritables cobayes.

L’analyse des souches de l’Ébola qui tuent de manière spectaculaire depuis quelques mois prouve avec pertinence, qu’il y a une grande différence structurelle entre cette nouvelle vague du virus et celle qui existait déjà en Afrique et dont certaines populations locales avaient déjà développées une certaine immunité. Aussi dans une étude faite par le Broad Institute et l’Université de Harvard en partenariat avec la Sierra Leone, les chercheurs ont démontré une piste plausible sur l’origine et la transmission de ce nouveau type de virus Ebola qui a une particularité jamais vue auparavant.

Sur les 99 génomes du virus Ebola collectées et séquencées à partir de 78 patients diagnostiqués positivement à l’Ebola pendant les 24 premiers jours de l’explosion de l’épidémie, l’équipe de chercheurs a trouvé plus de 300 modifications génétiques qui font de l’Ebola 2014 sévissant en Afrique de l’ouest, une version inédite, 5 membres de l’équipe de recherche ont trouvé la mort avant que les résultats de la recherche ne soient publiées. Entre et autres le Dr Sheik Hummar Khan qui était spécialiste des fièvres hémorragiques ainsi que 3 infirmières sierra léonaises, dans des circonstances sujettes à interrogation. Premiers à être confrontés à la maladie à l’hôpital de Kenema où en même temps était installé un laboratoire de recherche américain qui faisait des tests sur l’Ebola, ils succomberont à la maladie. En savaient -ils trop ? en tout cas lors des débuts de l’épidémie le Dr Sheik Hummar Khan, croyait faire face à une épidémie de La fièvre de Lassa ; une fièvre hémorragique foudroyante (causée par un arénavirus nommé virus de Lassa), très similaire a la fièvre Ebola, cette maladie fut décrite pour la première fois en 1969 dans la ville de Lassa, dans l'État de Bornou, Nigeria, la fièvre de lassa est inoculée à l’homme par un rongeur dont le contact avec les urines ou les fèces transmet la maladie. Le Dr Khan était un spécialiste des fièvres Hémorragiques en identifiant dans un premier cas le Virus de Lassa lors des tests en Laboratoire (sérologie) il était normal qu’après un antibiogramme conséquent, il appliqua la juste procédure, ou protocole médicamentaire, cependant le Dr Khan se serait trouvé dans l’incapacité de traiter cette maladie à cause de son caractère hybride parce que le virus de Lassa aurait été couplé à celui de l’Ebola, le traitement ne pouvait être qu’ inefficace, même lorsque la maladie était dépisté au premier stage. Un mariage macabre, un véritable cocktail de la mort qui aurait été concocté en laboratoire par les chercheurs américains qui bien sur avaient un centre de recherche sur ce type de maladie dans le même Hôpital de Kenema.

Depuis le centre de recherche américain sur l’Ebola a été fermé par le gouvernement Sierra Léonais, sous la pression populaire, lorsque de nombreux membres du staff médical Sierra Léonais avaient commencé un mouvement de grève à cause des conditions de travail, du décès de leur collègues, ainsi que des soupçons sur la contamination intentionnelle criminelle des populations et des promesses non tenues des chercheurs américains qui s’étaient engagés à verser au personnel soignant 20 $ de prime de risque, excusez du peu.

Si la transmission du virus Ebola se fait par le contact avec les liquides biologiques des patients infectés (sueur, salive sperme, sang, urine, fèces) il faut au préalable que ces substances rentrent dans l’organisme par voie ouverte, (blessures) ou par les muqueuses, (nasales, oculaires, buccales, sexuelles) aussi la capacité d’en faire une arme fatale est une réalité qu’il ne faille point négliger. Avec la technologie actuelle, si le virus Ebola était pulvérisé dans l’air et respiré par les populations, il passerait par les muqueuses nasales et contaminerait un nombre incalculable de personnes. L’Ébola comme la tuberculose se transmet aussi par la respiration d’un air pollué par la toux des personnes atteintes.

A ce jour pendant que l’Ebola nouvelle version continu de faire ses ravages, les voix africaines les plus à même de parler sur ce qui s’est vraiment passé dès le début de l’épidémie ce sont éteintes à jamais avec le Dr Khan et ses assistantes, pendant ce temps la seule source d’information reste les américains de l’Université de Tulane et de l’USAMRIID (The United States Army Médical Research Institute of Infectious Diseases) l’institut de l’armée américaine sur la recherche des maladies infectieuses. Oseront- elles s’accuser elles même ?

Il est difficile de le croire ; en tout cas l’espoir reste de mise dans la capacité de certains individus de la population africaine infectée de résister à la maladie, bien même quand ces derniers auraient été en contact direct avec les agents infectieux, et mieux on dénombre désormais quelques cas de patients qui ont survécu à la nouvelle forme d’Ebola. Le sang de ces derniers est devenu la panacée miracle pour juguler la maladie. A titre d’indication le fameux sérum Zmapp est simplement issu du sang des congolais qui dans les années 90 et 2000 ont survécu à la fièvre hémorragique. Pendant que les Etats-Unis à l’heure qu’il est, ont déjà récupéré les souches du nouvel Ebola aussi bien sur le terrain d’expérimentation que dans les organismes des patients d’origine américaine qui furent rapatriés d’urgence il y a quelques temps, ils ont pris le soins de déposer une demande de patente pour avoir le droit d’exploiter de manière ignoble tout profit relatif à cette nouvelle peste . Comme qui dirait c’est leur droit le plus absolu, c’est leur trouvaille leur création. Néanmoins, Il est temps que les forces positives de ce monde conjuguent leur efforts. Protéger les intérêts de la santé publique mondiale pour trouver un remède pour les population sans pouvoir d’achat, tout en protégeant la vie des survivants africains de l’épidémie, avant que leur sang ne tombe dans les mauvaises mains, qui n’hésiteront pas d’en faire une ignoble surenchère. L’inoculation de leur sang comme sérum reste jusqu’à présent la seule véritable option pour guérir de cette maladie, puisque le sérum Zmapp et le traitement expérimental enfin délivré à certains patients au Liberia et au Texas n’a pas été salvateur sans doute à cause du fait que ce médicament expérimental ne serait efficace que sur des personnes sans mélanine une hypothèse qui donne du grain à moudre aux conspirationnistes surtout que les patients à avoir été guéris par le fameux médicament expérimental ne sont que des blancs caucasiens. Pendant ce temps la différence structurelle inédite du virus Ébola version 2014 corse l’addition. En tout cas malgré la veulerie de certains, la nature qui a horreur du déséquilibre fini toujours par avoir la préséance. Le génie génétique a créé un mal qu’il ne peut plus soigner ni contrôler, a présent seul la nature humaine semble avoir à elle seule trouvé la solution.

Par Hubert Marlin Elingui Jr.

Journaliste


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