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Le secret des guerres Economie et Occultisme


Si George Clemenceau premier ministre de la France, deux fois entre 1906 et 1920 estimait que la guerre est une affaire trop sérieuse pour être confiée à l’armée, il ne faisait sans doute pas allusion au manque de sérieux des armées, qui parfois sont considérées de manière péjorative comme une meute d’hommes décérébrés, qui obéissent aveuglement aux ordres, et commettent parfois d’ignobles forfaits. La maxime de Clemenceau qui fut premier ministre de la France entre 1906 et 1909 et une seconde fois entre 1917 et 1920, laissait transparaître en delà du sacrifice suprême qui engage les forces d’une nation, les dynamiques qui mènent à la guerre. Des dynamiques qui n’ont rien à voir avec les armées mais à l’influence de certains réseaux, qui de tout temps ont toujours utilisé la guerre pour atteindre des objectifs souvent inavoués. Si l’universitaire américain Abraham Flexner estimait qu’aucune nation n’était assez riche pour payer en même temps pour la civilisation et la guerre, et stigmatisait la société occidentale à faire un choix entre la guerre et la civilisation ; il n’avait surement pas à l’esprit les mécanismes internationaux qui financent les guerres.

Aussi, de nos jours il est normal de dire sans ambiguïté, que la guerre n’est pas une affaire de nations, mais une grosse opportunité d’affaire pour des entités supranationales.

Les multinationales depuis l’époque des templiers ont toujours influencé l’histoire du monde se servant de réseaux sectaires des plus opaques, et des méthodes de manipulation des masses qui puisent aussi bien dans les techniques les plus fines du marketing moderne, que dans les sciences paranormales. Puis qu’il s’agit d’une affaire populaire les armées étant souvent constituées de la plèbe, il est important que l’on réussisse à vendre à la populace, l’idée de mourir pour des nobles causes, alors que dans la réalité ce n’est pas toujours le cas. Les guerres sont des affaires très sérieuses, car elles sont capables de redéfinir les rapports de force dans le monde économique. Et logiquement, elles ont toujours été au cœur des préoccupations de l’oligarchie.

L’esclavage, comme la colonisation furent au départ des affaires privées qui éventuellement revêtirent le sceau de l’Etat parce que le lobbying des grosses fortunes occidentales envers les politiques, avait fait prévaloir la raison d’intérêt public de leurs entreprises privées. En utilisant aussi bien la corruption que le jeu des intérêts personnels, et en s’appuyant grandement sur les réseaux sectaires, la quasi-totalité des guerres de l’époque moderne portent un seul label. L’intérêt économique. L’économie est au centre de la vie des nations modernes, et forcement elle a un ascendant prépondérant sur l’élite dirigeante qui en général est jugé par l’opinion publique sur sa capacité à construire et à maintenir un tissu socio-économique sain. Du même coup, ceux qui tiennent les cordons de la bourse, à savoir l’oligarchie, sont devenus ceux qui tiennent le réel pouvoir et par conséquent ils sont la raison derrière les guerres qui engagent des nations. Très peu se sait sur les raisons véritables des deux guerres occidentales dites mondiales, sans doute à cause de la main lourde des véritables agents de la belligérance mondiale dès la fin du 19e siècle, qui depuis utilisent à titre privé les organes répressifs des Etats, pour réduire au silence les investigations de leurs responsabilités sur les différents carnages qui ont endeuillés des millions de familles. Si les pays ont souvent été cités dans les grandes tragédies qu’aura connu l’humanité, comme la traite négrière ou la colonisation ; il ne faut pas oublier que ces phénomènes ont été avant tout des entreprises privées, qui avaient la bénédiction des souverains de l’époque . En Février 1891 Cecil Rhodes, le grand colonisateur privé britannique avait compris la nécessité de constituer une organisation secrète de puissants capitalistes britanniques afin d’assurer la suprématie mondiale de la Grande-Bretagne, pas par ce qu’il était patriote mais pour la simple raison qu’un état puissant a des moyens incommensurables, dans la réalisation des agendas de l’oligarchie, comme mobiliser les ressources de la nation pour les guerres qui lui profite. L’ organisation disposait de fonds illimités du Rhodes Trust, tiré directement de la fortune personnelle de Cecil Rhodes. Le noyau dur de cette société secrète impérialiste et ploutocratique était composé de riches compères très haut placés et prit le nom de « société des Élus » le second cercle plus ouvert composé d’agents facilitateurs de l’idéologie capitaliste comme les gouvernants ou membres du parlement fut dénommé l’« association des Aides ». La société secrète plus tard entre 1910 et 1914 se dotera de la « Table ronde » (Round table, 1910-1914) un think-tank qui servait à discuter librement des questions épineuses dans une approche maçonnique.

Après que les occidentaux aient ensemble défait la résistance locale des africains à la colonisation, qui succéda à l’esclavage, la lutte d’intérêt entre les hollandais et les anglais était devenu inévitable en Afrique Australe. Il ne restait plus que la guerre pour en découdre avec les cousins des allemands grands rivaux congénitaux depuis le moyen âge. Les premiers forfaits des réseaux de Rhodes, se firent lors de la guerre des Boers (1899-1902). L’objectif de cette guerre était de s’emparer de sites aurifères des républiques constituées à la fin du XIXème siècle par les Afrikaners. A savoir le Transvaal, et l’État libre d’Orange. Les Britanniques inventèrent à cette occasion, il faut le souligner, les camps de concentration, tout comme la tactique de la terre brûlée qui visait à incendier les villages, les récoltes et le bétail, pour affamer, et isoler et les combattants boers de leur milieu humain, femmes, enfants, parents… le génocide des Hereros et Namaquas, en Namibie par les allemands en utilisant les mêmes méthodes, interviendra entre 1904 et 1907 soit deux ans après la guerre contre les boers. L’oligarchie ploutocratique mobilisée par Rhodes, réunie au sein de l’ « Élite secrète », au-delà de la mort de leur initiateur et de leur désormais mainmise sur l’or et le diamant d’Afrique du sud, (le contrôle de la plus grande réserve d’or donnait une hégémonie sur l’économie mondiale à l’époque de l’étalon or) va continuer le combat et essayer de régler une fois pour toute la question germanique. En effet depuis l’époque des templiers au moyen âge il y a une légende bien connue dans les cercles hermétiques européens, qui admet que les templiers devaient leur fortune, à un secret. Une espèce de graal sacré, qui octroyait la domination sur les affaires du monde à qui le possédait, aussi après la destruction des templiers et l’exécution de Jacques de Molay, dernier grand maitre de l’ordre en 1314 , il aurait été convenu d’observer une espèce de rotation dans la domination des affaires du monde. Aussi après la France et son Roi Soleil, Louis 14, ce fut l’Espagne puis le Portugal dont la flotte régna longtemps sur les mers, et logiquement après la prise des devants par l’Angleterre victorienne, la norme aurait voulu que ce soit le tour de l’Allemagne de régner sur le monde. L’Allemagne qui n’était pas unie à l’époque du commerce des esclaves n’ y prendra pas part, si oui de manière insignifiante par l’entremise de Brandenburg, qui très vite sera supplanté par les Britanniques et les Français. Evidemment il est facile de comprendre que l’Angleterre aurait opposé une fin de non-recevoir du passage de témoin aux Allemands, et les deux guerres qui marqueront le 20 siècle à savoir la première guerre mondiale, tout comme la seconde sont, à la base des guerres d’hégémonies aussi bien mystique que socio- économique et politique. Une littérature abondante existe sur l’ occultisme Nazi, cependant un des faits les plus curieux réside dans l’obsession des Nazis envers le graal sacré. Aussi avant de commencer les hostilités de la seconde guerre mondiale Hitler s’était assuré de dépêcher une mission spéciale dirigée par Otto Rhan qui visait à retrouver le graal sacré, qui normalement devrait assurer la domination du 3e Reich sur le monde. Otto Rhan a-t-il retrouvé le graal sacré ? nul ne le sait. Son apparent suicide ayant laissé la question en suspens. Paradoxalement les juifs ou affiliés furent particulièrement influents dans le 3e Reich, par leur lien étroit avec le sionisme, Otto Rahn était juif par sa mère, tout comme Alfred Rosenberg qui aida Hitler à écrire Meinkamft, ou encore Karl Haushofer marié à une juive, et Halford Mackinder de la London School of Economics, qui avait des liens indéniables avec l’élite secrète de Cecil Rhodes. ensemble ils influèrent de manière decisive la trajectoire de l’Allemagne nazie. Haushofer est connu comme l’un des pères fondateurs de la géopolitique, avec sa théorie qui stipule que : « la destinée d’un peuple et d’une nation dépendent de leurs caractéristiques de sang et de sol. La vie et la survie des nations repose sur le fait de sécuriser et étendre leur espace vital. Tandis que la population augmente, la Terre reste à la même taille, aussi un peuple ambitieux doit continuellement conquérir de nouveaux domaines aux dépens des plus faibles » .

l’Allemagne se réuni sous le Kaiser Wilhem I, qui Roi de Prusse en Janvier 1861 devient empereur de l’Allemagne Réunifiée en 1871. Un couronnement qui se fait au Château de Versailles en France, après la guerre franco-prussienne de 1870, qui aura vu une nette victoire de l’Allemagne sur la France. La conquête allemande de la France et l’unification de l’Allemagne bouleversera l’équilibre du pouvoir européen qui existait depuis le Congrès de Vienne en 1815. Un congrès, qui avait vu une redéfinition de l’espace pacifique européen après les épopées sanglantes de Napoléon Ier. Otto von Bismarck premier ministre de l’empereur Wilhem 1er, puis de son successeur Wilhem II maintiendra une grande autorité dans les affaires internationales pendant deux décennies. Aussi c’est en tant que grande puissance de l’époque que l’Allemagne convoque la conférence de Berlin en 1884 qui verra le découpage de l’Afrique. Alors que tout semble prouver que l’ère qui s’ouvre est celle de l’Allemagne, les réseaux ploutocratiques avec à leur tête les grands argentiers anglais et juifs, s’attelleront à renverser l’hégémonie de l’Allemagne en finançant des anarchistes qui par deux fois essayeront d’assassiner, le Kaiser Wilhem I. La violence, appelle la violence, qui camoufle les manœuvres secrètes. L’horreur de la première guerre mondiale qui fut déclarée après l’assassinat du l’archiduc François-Ferdinand en 1914, par Gavrilo Prinzip, un juif franc-maçon et agent de la société secrète « la main noire » est là pour le prouver. Dans un ouvrage édifiant , L’Histoire occultée – Les origines secrètes de la Première Guerre Mondiale* Gerry Docherty et Jim MacGregor estiment qu’il y a manipulation sur les origines réelles de la première guerre mondiale en affirmant : « On a créé une histoire soigneusement falsifiée pour dissimuler le fait que c’est la Grande-Bretagne, et non l’Allemagne, qui était responsable de la guerre. Alors que l’empereur allemand Wilhem II soulignait que c’était la franc-maçonnerie qui était responsable de cette guerre. La première guerre mondiale devait être utilisée comme plate-forme pour lancer la construction d’une société conforme à l’idéal maçonnique comme le gouvernement mondial. La création d’une entité comme la Société des Nations directement inspirée par les Loges, serait la pierre angulaire. Le 6 décembre 1916, il fut expédié une invitation de la grande loge maçonnique de France, à toutes les loges du monde pour participer à une réunion, qui devait tabler sur la création d’une organisation internationale qui devait surgir des cendres mortifères de la première guerre mondiale. Les francs-maçons du monde qui se réunirent les 14 et 15 janvier 1917 à Locarno adoptèrent le terme société des Nations qui plus tard sera officialisé in extenso par les Etats à la fin de la guerre. La franc maçonnerie au cours de ces mêmes assises préconisait la poursuite du dessein de l’implantation d’un nouvel ordre mondial. Un thème qui avait déjà été évoqués maintes fois dans le passé. Les assises maçonniques de 1872 à Locarno tablèrent, déjà sur l’œuvre de construction d’un nouvel ordre mondial, qui ne pouvait que s’effectuer par une série d’évènements mondiaux.

Le terrain politique reste le domaine de prédilection du recrutement des agents de l’oligarchie. Une solution finale va utiliser le nationalisme socialiste pour en faire un ennemi public. L’oligarchie qui se camoufle sous les termes inoffensifs d’ économie libérale, n’aime pas le nationalisme ni encore moins le socialisme, car l’un a tendance à octroyer le meilleur de l’économie au contrôle de l’état, tandis que l’autre détruit toute spéculation mercantile ou profit, en distribuant les biens et services au peuple et ceci parfois de manière gratuite. En Afrique dans les années soixante, avec la guerre froide qui fait rage, il était normalement prévisible que les États-Unis et ses alliés occidentaux ne laisseraient pas les africains contrôler efficacement les matières premières stratégiques. La véritable indépendance incluant un contrôle total sur les ressources du pays afin de les utiliser pour améliorer les conditions de vie des peuples africains. Cette logique défendue par des figures à relent socialistes et nationalistes comme Patrice Lumumba, fut perçue comme une menace pour les intérêts occidentaux. C’est pourquoi il devait être impérativement éliminé. L’instabilité guerrière que subit la région des grands lacs depuis n’est que le fait des intérêts mercantiles de l’oligarchie contre les peuples. Aussi au-delà de l’occulte qui ne sert que des intérêts matériels, les membres « de l’élite secrète » savaient très bien que l’Allemagne allait rapidement être sur le point de dépasser la Grande-Bretagne dans tous les domaines de la technologie, de la science, de l’industrie et du commerce. L’unification avait doté l’Allemagne d’un nouveau statut au sein de l’Europe continentale, et on ne douta guère à partir de 1890 qu’elle allait devancer, et la Grande-Bretagne et la France ». La guerre de 1914, qui intervient après l’assassinat de Sarajevo changera la donne. L’Allemagne sera vaincu et perdra l’Alsace Lorraine, et son statut de grande puissance européenne chèrement acquis. La fin du second Reich, intervient après les crises qui succèdent à la défaite allemande à la première guerre mondiale.

Le 3e Reich nait en bavière, point névralgique des société secrètes occidentales comme celle des perfectibilistes ou illuminés d’Adam Weishaupt, qui complote dès 1717, la création d’un nouvel ordre mondial, qui par un mécanisme oligarchique devait s’accaparer des ressources du monde pour mener à bien son agenda. Le parti des ouvriers qui devient le parti national socialiste est instrumentalisé par l’oligarchie maçonnique ou illuminée qui le finance dès le départ. Les modes démocratique ou républicain permettent le jeu des intérêts et la corruption de l’élite politique par l’oligarchie, tandis que les monarchies sont difficilement corruptibles car immuables, c’est pourquoi elles devaient être abolies pour un système politique spéculatif.

Les militants du nationalisme socialistes dès la fin du 19e siècle entretenaient des relations loufoques avec l’oligarchie, vu les attentats fomentés contre les figures de la monarchie Allemande ou Austro Hongroises. Aussi, Hitler normalement n’est plus ni moins à tout le moins au départ, un agent des puissances anglo-saxonnes et de son oligarchie, qui sont les premiers à financer son parti national Socialiste, et surtout à faire des mouvements de fonds qui jugulent la crise inflationniste de l’après première guerre mondiale. En dehors de IG Farben, ou de Thyssen qui dotera les Nazis d’un siège social en leur achetant un hôtel particulier cossu, des labels comme Ford, General Motors, ou Chase Manhattan Bank de J.P Morgan, contribuent grandement à la restructuration de l’économie allemande et au développement de son complexe militaire industriel. La suite de l’histoire est très bien connue avec l’horreur de l’holocauste qui aura marqué les mémoires, et jeté un discrédit total sur toute forme de socialisme national. Beaucoup de chercheurs depuis toujours tendent à prouver que Hitler et son 3e Reich servait un agenda très éloigné de l’intérêt du peuple allemand, qu’il disait pourtant servir. Et beaucoup ont du mal à comprendre, comment tout un peuple a été berné. Il est ainsi souvent évoqué, l’occulte et les techniques de manipulation des masses.

Le 3e Reich est un cas d’école dans le conditionnement et la manipulation des peuples. Le conditionnement des populations à la guerre n’a rien de nouveau il fait partie de la logique de propagande de guerre.

Si de nos jours le médias sont l’outil incontournable visible, et les réseaux sociaux, un indicateur important sur l’idéologie générale de la population, il n’est pas moins vrai que dans les coulisses certaines méthodes comme la télépathie sont utilisées. Des études importantes depuis la guerre froide ont démontré que des méthodes visant à connaître l’état d’esprit général, de la population existe et ont donné des résultats souvent probants. La lecture de ce que les experts appellent subconscient collectif dans l’ex URSS tout comme aux Etats-Unis, a souvent été réalisé par des individus dotés de pouvoirs paranormaux ou spécialement entraîné et drogués pour les permettre de sentir l’atmosphère régnant dans une ville. Le contrôle total de la population par des moyens occultes et parapsychologiques. Est le rêve de tout gouvernement aussi bien démocratique que dictatorial. Il est désormais acquis qu’on dispose maintenant des moyens capables de contrôler les résultats sur l’inconscient collectif d’une action quelconque. Des résultats qui déterminent l’opinion publique, et par voie de conséquence l’action publique. Les recherches vont désormais plus loin expérimentant les méthodes de « moutonnade » qui permettent à un groupe restreint d’individus de projeter leur pensée sur les masses, afin de les rendre dociles et de réagir d’une certaine manière face à certaines situations. Pour ce faire les entités détenant un certain pouvoir aussi bien dans les médias, que dans l’industrie du divertissement, peuvent mettre sur pieds des méthodes d’ingénierie sociale, qui n’ont rien à voir avec le piratage informatique, mais la manipulation des consciences, par des évènements mis en scène. Si l’on sait très peu comment fonctionne la manipulation de la pensée par parapsychologie ( magie) La CIA, le KGB, la SWAPO, le BOSS (service secret de l’union sud-africaine) auraient enrôlé des sorciers en Afrique ; on sait que les mêmes résultats peuvent être atteint par les outils électro- magnétique et les armes à ultra son, ou par la manipulation de l’information servie aux masses. L’onde de choc de certaines information manipulées, aiguille la réaction du public envers une question donné. Montrer par exemple des fausses images de décapitation d’une secte islamiste peut heurter l’opinion publique qui urgera ses gouvernants à réagir par une guerre d’invasion d’un pays étranger comme la Syrie. Depuis le cycle des guerres se renouvelle en utilisant les mêmes ingrédients qui souvent passent inaperçus, par ce que très peu de gens on l’intelligence, ni encore moins la volonté nécessaire de faire un rapprochement entre les éléments du passé et ceux du présent.

Alors que l’occident semble plus que jamais traverser une période qui à bien des égards est entrain de sonner son déclin irréversible, beaucoup s’interroge sur le devenir du monde et cherche à comprendre ce qui pourtant semble évident. L’Asie et en premier la Chine est devenue une grande puissance économique quelque part, par ce qu’on l’y a aidé, y compris à partir du monde occidental avec notamment la délocalisation des grandes multinationales qui dès les années 70 ont jeté leur dévolu sur l’empire du milieu. Si cela n’enlève aucun mérite à l’ardeur au travail du peuple chinois, il ne faut pas non plus oublier que les mouvements sectaires comme les Hongmen une secte directement affiliée à certaines branches de l’oligarchie maçonnique occidentale, aura joué un rôle important dans le développement de la Chine. Il est tout de même curieux que la secte des Hongmen soit la seule entité non communiste à avoir un poste ministériel au sein du gouvernement chinois. En même temps les Hongmen restent tout aussi bien représenté à Taiwan où ils occupent une place prépondérante dans l’appareil étatique, jouant une espèce de trait d’union entre les frères ennemis de l’ile de Formose et de la Chine continentale. Au-delà, de la hardiesse au travail, la Chine n’a pas moins recours aux techniques divinatoires pour prendre des décisions majeures sur son avenir. Aussi grace au I Ch’ing un livre ancien qui donne des interprétations sur les phénomènes de l’époque et les conduites à tenir, il paraîtrait que le virage de Deng Xiaoping vers un système économique plus libéralisé, tout comme le refus récent de la Chine de s’engager dans des conflits armés, aurait été dicté par une interprétation de cet ouvrage millénaire sacré. Malgré tout, il est aisé de comprendre qu’en s’éloignant du socialisme pur, la Chine s’est éloignée de la fureur, de l’oligarchie maçonnique dont l’ennemi de tous les temps est le socialisme. La victime la plus récente du cartel de l’oligarchie est le colonel Mouammar Kadhafi et la Libye, pendant que le Venezuela est dans l’œil du viseur de la même nébuleuse. En fin de compte, il est clair qu’au-delà du cartésianisme des sociétés modernes de notre époque, une grande partie du vécu quotidien reste dicté par les arcanes de l’invisible. Lire plus sur www.flashmag.net

Hubert Marlin Journaliste


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