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Autrefois en Afrique les ancêtres ne mouraient pas ils s’élevaient au ciel comme la Vierge Marie.


L’élévation des saintes personnes de la foi catholique comme Marie avec l’Assomption célébrée le 15 Août et l’ascension du Christ qui intervient 40 jours après la pâques seraient inspirés des mythes africains qui ont traversé les âges pour se retrouver dans le dogmatisme de l’église catholique, à moins qu’ils ne soient l’autre version d’une réalité ancestrale.

Si l’on a plus aucun doute sur la spiritualité africaine, il n’en demeure pas moins que certains faits célébrés aujourd’hui comme miracles, auraient pu faire partie du quotidien d’une époque aujourd’hui révolue. Çà et là dans l’Afrique profonde on trouve encore des traces infimes des histoires surnaturelles qui ont traversé le temps que les vieillards dépositaires de la sagesse ancestrale content aux plus jeunes.

Aussi à 235 kilomètres de la capitale politique du Cameroun Yaoundé, on trouve des villages du peuple Nanga, un peuple qui à tort ou à raison est accusé d’avoir maîtrisé l’art de manipuler la foudre du tonnerre à des buts justiciers. Dans ces villages il se raconte encore l’histoire de Nda Meyong (un nom qui signifie en langue vernaculaire béti la cadette des nations) l’ancêtre qui était capable de téléportation voyageant entre le temps et l’espace en un clin d’œil, visitant les villes sans jamais employer les moyens de transports, marchant sous des pluies torrides sans jamais se mouiller, invoquant les pluies pour fertiliser le sol et autres. Au moment de quitter les siens pour le grand départ vers l'au delà il fit réunir le village pour dire au revoir et s’éleva aux cieux pour toujours.

Le mythe de l’élévation de Nda Meyong date du 18e siècle à une époque ou la pression occidentale se faisait déjà sentir sur le continent et beaucoup balayent cette histoire comme un simple fantasme, pour épouvanter les esclavagistes et les colons qui n’étaient pas une bonne nouvelle pour ces peuples.

Cependant dans d’autres régions de l’Afrique on à des histoires similaires qui tendent à faire croire d’une certaine manière que des phénomènes paranormaux se sont bel et bien produits sur le continent. Aussi les Dogons par exemple auraient une bonne connaissance du ciel et de la constellation d’Orion dont ils seraient originaires parce que leurs ancêtres y habitent et il ya très longtemps ces derniers, par simple lévitation étaient capables de voyager entre la terre et la constellation d’Orion. Alors lorsque ces derniers donnent des positions détaillées des étoiles qui sont à des années lumières de la terre sans télescopes c’est simplement par ce que par téléportation leur ancêtres étaient capables de leur raconter leur univers céleste.

Plus au sud de l’Afrique en Azanie communément appelé Afrique du sud, les ruines de Mpumalanga laissent suggérer des cas de téléportations. Le calendrier d’Adam que l’on trouve sur ce site est un ensemble de pierres positionnées en référence à l’apparition de la constellation d’Orion, ces pierres prouvent par leur alignement initial comparé à ce qui aurait été la position de la constellation d’Orion au moment où elles étaient montées, que le site aurait été habité il y a plus de 100 000 ans. Les recherches archéologiques autour des ruines n’ont hélas pas permis de trouver le moindre ossement humain. Comment la population vivant à cet endroit a pu disparaître sans laisser de traces hormis les ruines, alors que selon certaines études qui prennent en compte l’immensité du site, laisse penser que la ville pouvait à elle seule avoir abrité plus de 100 000 habitants? Le manque d’ossements humains ou de tombes laisse croire que les peuples qui jadis habitaient Mpumalanga se téléportaient eux aussi, tandis qu’en outre les vieux vestiges prouvant l’exploitation des mines d’or dans la région laissent plus tôt dirent à certains que les alliages d’or extraits des mines auraient plutôt servit à construire des vaisseaux spatiaux des aliens qui seraient retournés dans leur monde après, et cela explique l’absence de dépouille mortelles.

Dans le mouvement rastafari qui tire sa source dans la culture de l’ancienne Ethiopie, l’Etoile de David représenterait plutôt Zion, la terre qui est promise aux braves ou seraient les ancêtres, ce qui sous-entend que Zion n’est pas un morceau de terre comme la Palestine qui depuis est occupée à tort par les sionistes. Zion la terre des anciens existe bel bien, et il ya très longtemps, et mieux on n’avait pas besoins de mourir pour y arriver, quand on avait rempli avec brio sa mission sur terre on s’en allait par élévation sans mourir, l’histoire chrétienne d’ailleurs ne donne pas les honneurs au personnages illustres par hasard, La vie exceptionnelle menée sur terre ouvrait les portes célestes.

La mortalité des humains que nous vivons aujourd’hui est sans doute lié à la perte d’un savoir ancestral, perte induite sans doute par un phénomène que certains ont appelé la tromperie du diable. Plusieurs reliques et traditions orales parlent d’une époque où les peuples anciens ne connaissaient pas la maladie. Les études récentes ont prouvé que les gènes de la maladie ont été passés à l’humanité par l’homme du Neandertal, qui est postérieur à l'Africain moderne, alors il est plus que plausible de dire que c’est l’accouplement avec la bête homme du Neandertal qui a passé les gènes de la maladie à l’humanité dont la mort est le résultat. A titre évocateur les pires épidémies de notre époque comme l’Ébola ou le Sida sont d’une certaine manière liée à la zoophilie ou à la manipulation du génome humain et animal. une manipulation qui va à l'encontre des lois consacrées par la cosmogonie africaine.

Quoi qu’il en soit les différentes apparitions de la vierge Marie restent des phénomènes très astraux un peu comme le retour des ancêtres de la constellation d’Orion dans la tradition orale africaine, car à chaque fois qu’elle serait apparue elle serait venue des cieux restant en lévitation lorsque parlant à ceux qu’elle avait choisi pour passer son message. Un autre mystère celui de l’immaculé conception est aussi retrouvé dans l’ancienne Égypte et en Afrique subsaharienne où spirituellement par le rêve un homme et une femme pouvaient s’unir et avoir un enfant physique, De nos jours des phénomènes pareils quand ils se produisent sont des cas de « sorcellerie » où des femmes avouent avoir conçu après avoir eu des rêves érotiques avec des hommes, des histoires souvent cataloguées comme de la simple superstition irrationnelle propre à l’Afrique.

Au demeurant beaucoup d’autres légendes en Afrique sont similaires aux histoires reprisent par les religions Abrahamiques comme le buisson ardent, du mont Sinaï dans l’exode de Moise qui dans la tradition orale Bassa’a, un peuple du sud littoral du Cameroun était l’arbre de Dieu de la montagne sacrée qui se trouve en pays Bassa’a; ce buisson soignait toutes les maladies et rajeunissait les vieux. L’arbre représente une grande signification dans la culture africaine avec par exemple les Himbas d’Afrique australe qui avant d’avoir un enfant écoute la voix des arbres qui leur donne le sexe, le nom de l’enfant à naître et même une chanson pour bercer le nouveau né. Dans la même logique, l’origine de la création avec l’homme et la femme sans nombrils qui seraient nés de la terre existent dans la tradition orale de plusieurs peuples d’Afrique. Ce qui est sûr et certain c’est que chacun a connu Dieu et le raconte à sa manière, mais hélas beaucoup de théologiens modernes continuent plutôt de penser que ces légendes ont été plutôt influencées par le christianisme et l’Islam à une époque plus récente.

Hubert Marlin

Journaliste Ecrivain


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