top of page

Plus jeune on commence l’activité sexuelle, moins d’amour on pourra en donner


En en juin 2003 l’héritage fundation publiait une étude intitulée Les effets néfastes de l'activité sexuelle précoce et les multiples partenaires sexuels chez les femmes.

Selon cette étude, les filles qui commencent l'activité sexuelle volontaire à 13 ou 14 ans auront, en moyenne, plus de 13 partenaires sexuels hors mariage au cours de leur vie. En revanche, les femmes qui commencent une activité sexuelle consentie à 20 ans, ont en moyenne 3 partenaires sexuels au cours de leur vie.

Loin de jouer avec des chiffres c’est plutôt les conséquences qui découlent de cet état des choses qui sont flagrantes. Les femmes qui commencent une activité sexuelle à un âge précoce ont aussi des taux de rotation annuel de partenaires sexuels plus élevé, entendez par là, nombre de copains changé par an. Cette situation de vagabondage sexuel que l’on acquiert dès les premières années de l’adolescence perturbe énormément les rapports de la femme avec la société, avec des conséquences fâcheuses sur l’amour et la maternité.

Les fluctuations hormonales équilibrée sont importantes pour la santé physique et mentale de la femme ainsi que pour son épanouissement dans la société, cependant le désordre sexuel en dehors des maladies sexuellement transmissible, crée un chambardement important des flux hormonaux.

Il est depuis très longtemps prouvé que les femmes produisent L’ocytocine une hormone qui est responsable de sentiments cardinaux quand il en vient à l’amour et à la vie en société, car cette hormone influence la confiance en elles, l’attachement qu’elles ressentent envers quelqu’un et l’instinct maternel. Les femmes produisent cette hormone dans des circonstances importantes de leur vie sexuelle et maternelle. Pendant les rapports sexuels elles en produisent beaucoup dans les sécrétions vaginales qui sont un stimulus de leur orgasme. Pendant l’accouchement elles en produisent également à foison cela les aide à s’attacher encore mieux à leur enfant.

Il serait important de souligner que les rapports sexuels important d’une femme raréfieront ces hormones, les exposant à la frigidité partielle, au manque d’attachement vecteur de relation suivie pouvant conduire au mariage, et bien sûr à la perte de l’instinct maternel.

La frigidité partielle hélas ne réduit pas toujours l’envie de rechercher de nouveaux partenaires, car du point de vue psychologique une femme qui a connu beaucoup de partenaires cherchera toujours à retrouver la sensation absolue , et changera chaque fois de partenaire juste pour retrouver soit certaines des meilleures sensations qu’ elle a connu par comparaison aux partenaires passés, soit l’ultime sensation pour atteindre une nouvelle dimension ; un peu comme un toxicomane qui ayant essayé les drogues moins dures, reste dans la quête effréné des drogues les plus fortes pour atteindre un nirvana élusif. Cette situation ouvre la voie à des nouvelles expériences sexuelles qui peuvent s’avérer dangereuse pour leur vie comme l’asphyxie érotique, le sadomasochisme ou la partouze.

Du côté des hommes ont aurait pu dire que les dieux ont été injustes car ils ont donné aux humains de sexe masculin la possibilité de produire des hormones qui provoquent l’envie et la satisfaction violente et instantanée lors des rapports sexuels, sans leur donner la capacité de s’attacher beaucoup. L’ocytocine hormone de l’attachement sentimental les manquant cruellement, l’amour chez les hommes est plus dans le subconscient. En dehors des envies charnelle les hommes s’attacheront aux femmes par ce qu’ils retrouvent en elles des choses qui les ont été inculqués dès le bas âge, ou par ce qu’elles leur apportent la plus grande satisfaction sexuelles et émotive. Les hommes hélas ont plus tendance à l’hédonisme

Les hommes produisent, la dopamine et la prolactine qui se combinent pour donner l’addiction au sexe et des orgasmes très courts. Lorsque la dopamine donne des envies fortes, des pulsions sexuelles intenses, la prolactine quant à elle coupe brutalement cette intensité après les orgasmes masculins, en donnant l’envie soudaine de sommeil.

Pareillement au femmes, les hommes qui ont trop de rapports sexuels, perdent aussi beaucoup d’hormones sexuelles. La conséquence directe chez les hommes est la fatigue sexuelle qui est une forme d’impotence sexuelle, cela entraine le recours au stimulants sexuels comme le viagra et autres, même à un âge jeune pour retrouver la vigueur sexuelle. Chez les hommes les fatigues sexuelles et la frigidité masculine sont aussi une porte ouverte aux nouvelles expériences sexuelles parfois extrêmes, comme la zoophilie ou l’homosexualité par ce que comme les femmes vagabondes, ils seront aussi toujours à la recherche de l’ultra sensation sexuelle, si bien qu’ils vont s’acharner à la trouver à chaque fois, essayant quelque chose de nouveau.

Quoi qu’il en soit dans les deux cas le vagabondage sexuel met l’amour en péril, privilégiant l’amour du sexe à l’amour entre les partenaires. Si selon les anciens égyptiens la multitude des partenaires facilitait la dispersion des énergies sexuelles qui pouvaient être fatale dans la vie après la mort, le ka (âme) devant retrouver son alter ego dans l’au-delà, la télégonie quant à elle, est cette croyance du 19e siècle selon laquelle une femme, fécondée ou déflorée par un premier homme, produit ensuite des enfants à sa ressemblance quel que soit le géniteur, a depuis donné des résultats satisfaisant en laboratoire. Ceci est sans doute la preuve que les anciens avaient raison quelque part. En plus certains scientifiques de nos jours pensent que l’acte sexuel peut influencer la structure de votre ADN en y ajoutant des traces de partenaires que vous avez connus. Situation que l’on constate dans le corolaire, les amoureux ayant vécu longtemps ensemble, semblent se ressembler à un âge avancé. Il est bien connu que lors des échanges sexuels la chaleur produite et les échanges de secrétions sont une porte ouverte vers les partie matérielles et subconscientes des individus

La société moderne se porte peut-être très mal à cause du libertinage sexuel qui à la longue a créé des tensions sociales, les éternels insatisfaits trouvant désormais normal de se combattre de manière létale pour satisfaire leurs egos les plus abjects.

Hubert Marlin Elingui Jr

Journaliste - Ecrivain


Headline - A la une
In This Edition
Archives
bottom of page