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L’armée Américaine au Cameroun : la mort par le sous-développement, la mort par la guerre, ou les d


La politique et le Commerce de la mort font bon ménage dans l’axe nord sud. La politique n’est pas un jeu, ou plutôt c’est pas un jeu d’enfant, mais un jeu de guerre dont l’ignominie n’est que l’apanage des vilains personnages qui la font , si bien qu’ aujourd’hui le terme politique renvoi très certainement a quelque chose de dangereux. Loin de s’attarder au jeu de mots et faire dans le registre de la politique politicienne, une maxime très chère à une certaine élite. l’allégorie du danger de la mort et de la fourberie , est liée au simple fait, qu’ une certaine caste de malfaisants s’est arrogée le droit de faire de la politique, qui pourtant à l’origine n’a rien de mauvais, car en fait, la politique est une manière, une méthode idoine, qui permet d'agir avec autrui, de manière habile, judicieuse, diplomate et calculée. Lorsque que la politique en générale, peut être aussi la ligne de conduite que l’on se donne en traitant d’une certaine question dans le but d’atteindre un certain objectif. Cependant il important de noter que dans le paradigme actuel, la notion judicieuse, n’est juste, que lorsqu’ elle engendre le profit de certains. Servir les idéaux louables est devenu asservir, et plonger dans la servitude des masses sous éduquées et acculturées, qui ne comprennent en général rien des origines et du but de la misère morale et matérielle dans laquelle elles ploient. L’idéologie dominante quand il en revient à la politique est devenue essentiellement ancrée dans la logique du Comte de Machiavel qui prône la conquête et la préservation du pouvoir politique en usant de tous les subterfuges inavouables et inimaginables, car en général plus c’est impensable plus ça passe. Le plus gros mensonge est la meilleure vérité. Dans cette logique machiavélienne le peuple en général est voué à un avenir dantesque. La misère est en général le meilleur allié de cette gent de mauvaise fois que l’on rencontre dans les artères des joutes politiques.

La nouvelle est tombée comme un couperet une ultime humiliation a un peuple qui croyait être au bout de ses peines et pensait depuis un certain temps avoir identifié ses ennemies naturels en essayant bon an mal an de faire front commun. Les épreuves dans la vie d’un homme comme dans la vie d’une nation lui donnent du caractère la fragilisant en la divisant, ou la rendant plus forte en l’unissant. L’entrée de l’armée américaine sur le territoire camerounais pour officiellement combattre la nébuleuse terroriste Boko Haram divisera et affaiblira le Cameroun ou le rendra plus fort en unissant les camerounais plus qu’avant pour la même cause ?

Le peuple camerounais est en général un peuple fier qui aime se battre comme des lions lorsqu’ il fait face à des situations critiques au lieu larmoyer et de quémander l’aide des pays étrangers. les années de crise économique qui lui ont été imposées par le système de la finance internationale en plongeant le pays dans une misère indicible n’ont pas empêché ce peuple de se battre et de trouver des voies et moyens de survie , pendant que la tendance des autorités a toujours été de satisfaire ce système de prédation internationale en imposant au peuple des sacrifices structurels comme les infâmes programmes d’ajustement structurel, ou la honte de l’acceptation des programmes comme celui des PPTE pays pauvres très endettés, qui en émasculant la souveraineté des états, force des populace à admettre le fait qu’à cause de leur misère elles devraient faire profil bas , et accepter le dictat de l’occident dans la destruction de leur tissu économique et l’imposition de la servilité avec les traités comme celui des APE. Des accords de partenariat économique, qui ressemblent plus aux traités inégaux de Tonkin, où les pays africains sont purement et simplement placés dans une situation de défaveur flagrante. Si les deux marchés européen et africain seraient ouvert à un libre échange comme les textes le disent, dans la réalité les pays d’Afrique des Caraïbes et du Pacifique ne sauraient exporter leur produit vers l’Europe car leur produit ne respecteraient pas de normes liées a la consommation sur le sol Européen, manquant cruellement de la technologie de formatage des produits voués à la consommation, tandis que la non subvention des mêmes agriculteurs Africains à cause des programmes d’ajustements structurels, les place en position de concurrence déloyale envers leur contrepartie européenne.

Une situation de misère morale et matérielle s’est installé dans le continent Africain et au Cameroun en particulier une misère qui sert de grand levier a la manipulation des masses. les grands profiteurs de ce fait déplorable, sont aussi bien les autorités locales que les maitres occidentaux qui peuvent continuer à compter sur une extraversion des mentalité et de l’économie exploitant avec condescendance les matières premières locales, tandis que le pouvoir en place face à la misère du peuple distribue ou plutôt corrompt de temps en temps quelques élus tirés de la masse avec des postes politiques dans l’administration qui reste le plus grand pourvoyeur d’emplois, favorisé en cela par le sous-développement entretenu par l’occident qui neutralise la libre entreprise et par conséquents les moyens d’obtention du pain quotidien. Il ne fait pas bon de ne pas soutenir les autorités en place cela peut vous couter les moyens de survie. À la fin ce n’est pas sans arrogance que le président de la République au Cameroun, s’exclame avoir déjà dirigé le pays pendant plus 30 ans, sa longévité il la doit pas à sa force de caractère ou au partage judicieux des richesses du pays, mais a sa politique machiavélienne, son meilleur allié depuis toujours est la misère du peuple. Plus de 50 ans après les indépendances on gagne des suffrages au Cameroun en nourrissant les ventres affames le jour des élections.

L’union naturelle entre les autorités américaines et les autorités camerounaises tient du fait qu’elles sont pareilles. Ils utilisent les mêmes méthodes. Les États-Unis aussi, et ceci a une plus grande échelle son adepte de la doctrine machiavélienne, car les États-Unis n’ont le leadership mondial que parce qu’ils savent créer le chaos dans les pays des autres. Les deux premières guerres mondiales ont consacré l’unipolarisme américain malgré l’intermède de la guerre froide, et on a du mal à croire que vu tous les bénéfices que les États-Unis ont tiré de ces guerres, cela ne fut qu’un fait du hasard, quand on sait le rôle que les places boursière et les banques jouent dans les conflits on ne peut que rester très sceptique, les Etats-Unis avec Wall Street et les conglomérats bancaires étant la place de choix ou se négocie le devenir du monde. Adepte de l’économie de la guerre et du malthusianisme démographique les Etats-Unis ne sont pas timide quand il faut employer des méthodes radicales pour conserver leur avancée technologique et économique sur les autres nations. Selon la doctrine américaine la guerre est bonne elle crée des opportunités, freine le développement des nations étrangères qui sont toutes des ennemis potentiels et surtout crée le chaos et diminue le nombre de citoyens dans les pays en guerre.

Dès le début des années 70 les Etats-Unis ont tablé sur un contrôle de la population mondiale, statuant clairement qu’il deviendrait très difficile pour les Etats-Unis de garder la main mise sur les ressources du monde, si les populations de certains continents comme L’Afrique et l’Asie continuaient à croitre en leur causant un challenge quant- à l’exploitation des ressources sous leurs pieds. Aussi « Le 10 août 1970, le président Richard Nixon confiait au NSC (Conseil National de Sécurité) la charge de préparer un rapport sur la population mondiale. Le président américain craignait que la croissance de la population dans le Tiers Monde devienne une menace pour les intérêts des États-Unis. Le 10 décembre 1974, le NSC publiait les résultats de cette étude dans un rapport de 250 pages intitulé: "National Security South Mémorandum 200: Implications of Worldwide population Growth for U.S. Security and Overseas Interests". (Implication de la croissance de la population mondiale sur la sécurité et les intérêts des Etats-Unis à l’étranger)L'étude en question avait été préparée par un comité du Conseil National de sécurité supervisé par Henry Kissinger alors Secrétaire d'État et président du NSC. Ce rapport concluait qu’il fallait à tous prix freiner l’éclosion des populations des pays riches en ressources minières car le nombre grandissant de ces populations leur empêcherait d’exploiter de manière durable les richesses de ces pays. Et par ironie sous prétexte de protéger ces mêmes populations, le musée de l’horreur fut ouvert en Lybie et dans bien d’autre pays comme la Syrie ou L’Irak avec les conséquences que l’on connait avec des agents terroristes défiant à chaque fois l’autorité de l’Etat.

Par conséquent jusqu’ en 2015 malgré les administrations qui se sont succédées l’idéologie est restée la même. Des, 1996 avec la création de l’ACRI les Etats-Unis savaient avec pertinence l’importance grandissante de l ‘Afrique subsaharienne en matière de ressource minière et énergétique , de nombreuses études précédentes ayant prévu que dans les années 2010 au moins 25 % du pétrole consommé par les États-Unis viendrait du golfe de Guinée. Aussi le bilan de l’année 2013 le prouve, plus de 25 pour cent du pétrole consommé par les Etats-Unis venait du Golfe de Guinée, une partie du globe qui bizarrement dès les années 2000 va connaitre des troubles sérieux, la guerre au Congo Brazzaville grand producteur de pétrole ,l’instabilité en Centrafrique creuset de richesse minières tels que l’or et le diamant, l’instabilité perpétuelle au Congo démocratique scandale géologique vu ses richesses, et pour couronner le tout, la chute de la Libye sous les bombes de l’Otan et l’exécution de Mouammar Kadhafi grand argentier du progrès économique de l’Afrique, allait rendre la zone encore plus pauvre et dangereuse. En armant les milices islamistes baptisées de manière hypocrite « modérées », les États-Unis et ses alliés occidentaux, savaient très bien quels seraient les conséquences. Il serait très peu intelligent de croire qu’en faisant tomber le régime de Mouammar Kadhafi ils ne savaient pas, que l’Afrique serait privée de l’argent Libyen, nécessaire à son décollage et que le terrorisme allait s’installer. Aussi on peut admettre de manière certaine, que ce chaos était l’objectif recherché. Si la production de pétrole Libyen n’a pas changée malgré la guerre le pays quant à lui se perds en désolation les trillions de dollars de fonds souverains Libyens s’étant depuis évaporés entre Paris, Londres et Washington.

En général dans la logique de la sauvegarde de leurs intérêts les américains savent créer des problèmes pour eux même proposé des solutions, qui ne servent qu’à conforter leur position hégémonique. Depuis pas mal d’année les américains savent quelle importance revêt le Golfe de Guinée qui jadis procura un grand nombre d’esclaves pour construire leur pays (plus de 90 % d’afro américains sont originaire du Golfe de Guinée). Aussi la mise en opération de l’AFRICOM et de l’ACOTA African Contingency Operations Training and Assistance (Acota) [Assistance et entraînement pour des opérations africaines d’urgence], créé par l’administration Bush en 2002 remplaça l’African Crisis Response Initiative (ACRI), créée par l’administration Clinton en 1996. (ACRI organisme mal famé pour le sang qu’il fit couler dans la corne de l’Afrique faisant de la Somalie un non Etat), obéit au désir impératif de protéger le quart de la consommation pétrolifère des Etats-Unis, originaire du Golfe de Guinée. Les autres 75 pour cent quant à eux sont produits dans les zones ou les américains disposent déjà de bases militaires. Le pétrole est une question hautement stratégique qui confie au dollar américain sa raison d’exister. L’or noir est la grande lessiveuse du billet vert imprimé par la réserve fédérale qui n’aurait aucune valeur sans la loi non écrite interdisant de faire tout échange pétrolier dans le monde dans une monnaie autre que le dollar américain.

Les conquêtes des espaces d’influence se fait avec l’aide de divers programmes d’entraînement des troupes Africaines localement et de formation aux Etats-Unis, des militaires Africains. De cette manière les Etats-Unis se garantissent deux choses importantes. sous le prétexte de formation ils ont accès de manière réelle aux informations de premier choix sur les capacités de défenses des troupes des pays souverains lorsqu’en formant les élites des armées étrangères, les américains s’assurent de garder une influence certaine sur le court des évènements dans les Etats Africains, en cas de coup d’Etat en général ceux capables de prendre le pouvoir sont des produits américains qui ne peuvent que continuer a pérenniser l’influence de leur maitres d’hier. Le côté le plus ombrageux de cette vision des choses est l’option non conventionnelle. Pendant qu’officiellement l’armée régulière américaine coopère avec les forces armées républicaine d’un pays, les services d’intelligence américains ne se privent pas de travailler avec des forces d’opposition clandestines de tous les gouvernements des pays avec lesquels ils entretiennent des relations diplomatiques. Cette présence dans les deux cotés permet aux américains d’avoir un control absolu sur les évènements, manipuler et de faire un chantage et une surenchère de bien mauvais alois.

Les Etats-Unis viennent d’entrée au Cameroun pour y rester indéfiniment le gouvernement américain après avoir essuyé des revers important en orient avec l’entrée de la Russie en guerre en Syrie , vient de se recentrer sur le Golfe de Guinée, avec plus d’un quart de son ravitaillement en ressource pétrolifère cette partie du monde est au centre de ses préoccupations premières. Quitte à elle de créer un chaos contrôlé pour continuer à avoir une raison de rester pour vaquer à la préservation de ses intérêts. Aussi la secte nébuleuse Boko Haram qui déjà depuis 2008 avait connu l’aide du conglomérat criminel arabo américain, (fonds et entrainement paramilitaire) est devenue encore plus virulente avec la destruction de la Libye, une destruction qui s’est faite avec l’entrainement et l’armement de groupuscules terroristes. Ces mêmes groupuscules qui aujourd’hui sèment la terreur dans la région du bassin du lac Tchad ne sont qu’une émanation des services d’intelligence américains. Il est aberrant que les mêmes américains nient leur implication directe dans l’expansion du terrorisme dans cette région du monde en ayant l’audace de venir jouer les gendarmes, l’expression pompier pyromane n’est pas un titre que les américains usurpent, c’est une réalité du vécu quotidien.

Avec plus de 138 bases dans 138 pays les États-Unis font une guerre non déclarée au monde entier. Et c’est le sang des innocents qui ne fait que couler pour satisfaire les désirs égoïste de l’ogre américain.

Le numéro de juin 2014 la revue américaine American Journal of Public Health note (PDF gratuit ici; que plus de 90% de tous les décès dans les guerres sont des civils et que, environ 10 civils, meurent pour chaque combattant tué dans la bataille : David Swanson commentant ces faits relève que : « le plus grand prétexte de recours à la guerre , c’est qu’elle doit être utilisée pour empêcher quelque chose de pire, appelée génocide . Malheureusement le militarisme génère des génocides plutôt que de les prévenir. Aussi selon les données répertoriée jusqu’ en 2001 Les États-Unis ont lancé 201 sur les 248 conflits armés depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, et depuis lors, d’autres conflits majeurs ce sont ajoutés l’Irak la Syrie le Yémen, l’Ukraine, et la Libye qui a ouvert la boite de pandore Boko Haram dans le bassin du lac Tchad, et Al Shebab au Mali

Sous le prétexte de changer un régime de protéger une population d’un seul homme au pouvoir, les américains ne s’offusquent pas de créer un carnage dans les populations qu’ils disent pourtant défendre, ce fut le cas en Irak en Libye et maintenant en Syrie.

Certains se poseraient la question de savoir pourquoi créer le chaos et rendre des pays ingouvernables, arguant que cela ne profiterait à personne ? Au contraire, avec 25 pour cent du pétrole consommé par les américains venant désormais du Golfe de Guinée il était impératif pour les américains de trouver un moyen de compresser les couts d’achat de la marchandise, et faire du troc entre pétrole et armes avec des groupuscules rebelles, comme au bon vieux du commerce des esclaves et cela est bien plus rentable que d’acheter du pétrole aux états qui ont une organisation plus appropriée et plus exigeante en dehors d’avoir une existence légale et les conventions internationales les protégeant d’une certaine manière de l’ excès de zèle américain, même si dans ce cas d’espèce les grandes multinationales utilisent néanmoins la corruption de certains cadres locaux, pour maximiser leur profit. Comme conséquence directe l’argent du pétrole dans les pays sous-développés, ne sert qu’une élite corrompue tandis que le gros de la production aurait dû aider au développement des pays. Fait illustrant cet état des choses est le scandale de corruption de la multinationale américaine Halliburton au Nigeria et la misère du peuple Ogonie dont les terres sont exploitées et polluées par la production du pétrole. Dans le même dessein les seigneurs de guerre n’ont pas une population de millions d’individus à entretenir avec les revenus pétroliers sinon eux même et leur clan. Aussi les états en faillite sont une aubaine non négligeable. Avec la chute de la Somalie depuis 1991, les 12 pour cent de pétrole consommé dans le monde et le tiers de la consommation européenne transite par le Golfe d’Aden sans payer quoi que ce soit à qui ce soit, et pire les chalutiers de pêche européens écument ces eaux riches en ressource halieutique depuis lors de manière illégale affamant encore plus les populations riveraines par une pêche intensive sauvage. puisque l’état Somalien n’existant pas, il n y a personne pour imposer des taxes sur les différentes activités se déroulants dans les eaux territoriales somalienne. La nature ayant horreur du déséquilibre la piraterie maritime des populations riveraines est devenu le seul moyen de faire payer quelque chose de temps en temps a ceux qui exploitent la zone.

En Libye et en Irak les hordes terroristes contrôlent désormais le marché du pétrole qui malgré la guerre n’a pas cessé de couler à flot pour ravitailler les pays occidentaux. On assiste à la même situation en République Démocratique du Congo ou malgré la guerre et l’instabilité qui a déjà couté la vie à plus de 6 millions de personnes depuis la chute du Marechal Mobutu dans les années 90, les réserves minières continuent d’être exploitées sans encombre par les entreprises occidentales dans les zones pourtant meurtries par la guerre. Il y a qu’un Etat souverain et bien structuré qui puisse imposer des quotas sur l’exploitation des ressources minière sur son sol et voire même nationaliser les entreprises d’exploitation de ressources pour en tirer profit de manière optimale. Raisons pour lesquelles le chaos ne peut qu’aider au non-paiement des quotas et surtout à une exploitation quasi perpétuelle des ressources minières par des compagnies étrangères.

Au vue de ce qui précède, pourquoi les autorités Camerounaises sachant pertinemment les précédents des Etats-Unis, puis que partout où l’armée américaine passe les vies humaines trépassent et chaos s’en suit, pourquoi avoir accepté de faire rentrer des troupes américaines sur le sol camerounais, surtout lorsque l’on prend en compte le fait que le président Camerounais avec la crise sécuritaire Boko Haram et son refus catégorique d’avoir des troupes non africaines combattre la nébuleuse était un peu devenu un symbole de résistance au néocolonialisme, et avait depuis gagné en popularité dans l’opinion publique aussi bien dans la diaspora que localement ? Quel est l’élément qui a fait changer la donne ? Pourquoi le président Camerounais a pris le risque de se ridiculiser et perdre l’estime de ses concitoyens ? La réponse nette sera difficile à trouver mais on peut regarder du côté de la cellule interne. Avec des enfants étudiants aux États-Unis la famille présidentielle serait-elle victime de chantage? Et pire y a-t-il eut un coup d’état au Cameroun ? quand on sait que depuis son rapprochement avec la Chine le Cameroun subit pas mal d’activités clandestines des services de renseignement américains comme ces implantation de fibres optique sur les points stratégiques du territoire Camerounais de manière clandestine par une compagnie américaine qui jadis s’occupait d’électricité , la proximité de l’ambassade américaine avec la présidence de la république camerounaise n’est pas non plus rassurante un souterrain reliant l’ambassade américaine et la présidence existerait-il une méthode bien connue de la CIA a Berlin sous la guerre froide et récemment découverte en Syrie. La garde prétorienne camerounaise est essentiellement composer d’agents israéliens qui l'entraine et la supervise, et Israël étant l’allié conventionnel américain le Mossad a-t-il joué un rôle prépondérant pour faire plier l’échine au président camerounais ? En tout cas lorsque que le président américain fait l’annonce d’envoi de troupes américaines au Cameroun 90 militaires américains y était déjà dans le pays à quelles fins ? Même si officiellement ils participaient à la formation des troupes, personne auparavant n’avait fait allusion à leur présence sur le théâtre des hostilités ni encore de leur aide logistique qui aux dernières nouvelles se faisait toujours attendre? Malgré le refus brutal du président Barack Obama envers son homologue nigérian il y’a quelques semaines ? Et jamais le président Camerounais n’a demandé l’envoi de troupes étrangères sur son sol comme le stipulait le communiqué de la maison blanche que c’est- il vraiment passé ? Le président camerounais aurait-il trouvé le moyen d’avoir le soutien de l’armée américaine y compris dans le combat contre ses ennemis politiques qui pourraient devenir par extension des entités terroristes ? Au prix de quelle compromission ? En tout cas l’avenir nous le dira. Cependant il important de souligner que les États-Unis essayent coûte que vaille de mettre des pays à genoux pour rester debout tout seul, l’idée d’un gouvernement mondial chapeauté par les États-Unis ne saurait souffrir de l’encombrement des états viables a ce stade même les difficultés des pays de l’Union Européenne ne serait pas anodines. Aussi Hitler disait à la fin de la guerre et sachant indubitablement la cause entendu, qu’il reconnaissait être aussi bien à l’origine de la 3eme guerre mondiale car avec la victoire américaine il avait prédit que le monde serait asservit par la super puissance américaine et son allié sioniste et que ce monde allait finalement se rebeller de partout pour combattre leur ennemi commun qui pour trop longtemps leur aura imposé un dictat et une ingérence flagrante dans leurs affaires internes. En tout cas on ne peut pas refaire le monde mais il est impératif que le monde se défasse des méchants qui empêchent l’humanité d’évoluer les matières grise des générations d’individus issus des pays du tiers monde, détruites sur l’autel de leur hégémonie auraient sans doute aidé depuis l’humanité à faire des voyages interstellaires.

Par Hubert Marlin

Journaliste - écrivain


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